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path: root/doc/fr/DETAILS
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Diffstat (limited to 'doc/fr/DETAILS')
-rw-r--r--doc/fr/DETAILS945
1 files changed, 0 insertions, 945 deletions
diff --git a/doc/fr/DETAILS b/doc/fr/DETAILS
deleted file mode 100644
index 5c7246c9d..000000000
--- a/doc/fr/DETAILS
+++ /dev/null
@@ -1,945 +0,0 @@
-
-Format des listings "---with-colons"
-====================================
-
-sec::1024:17:6C7EE1B8621CC013:1998-07-07:0:::Werner Koch <[email protected]>:
-ssb::1536:20:5CE086B5B5A18FF4:1998-07-07:0:::
-
- 1. Champ: Type d'enregistrement
- pub = clef publique
- sub = sous-clef (clef secondaire)
- sec = clef secrète
- ssb = sous-clef secrète (clef secondaire)
- uid = id d'utilisateur (seul le champ 10 est utilisé)
- sig = signature
- fpr = fingerprint: (le champ 10 est le fingerprint)
- pkd = données publiques de la clef
- (champ au format spécial, voir ci-dessous)
-
- 2. Champ: Une lettre décrivant la confiance calculée. Ce n'est qu'une
- seule lettre, mais elle fera peut-être l'objet d'une information
- supplémentaire pour les versions futures, comme décrit ici
- (ceci ne sera pas utilisé pour les clefs privées)
- o = Inconnu (cette clef est nouvelle au système)
- i = La clef est invalide (eg. il manque sa propre signature)
- d = La clef a été désactivée
- r = La clef a été révoquée
- e = La clef a expiré
- q = Non-défini (pas de valeur attribuée)
- n = Ne jamais faire confiance à cette clef
- m = Cette clef dispose d'une confiance marginale
- f = Cette clef dispose d'une confiance totale
- u = Cette clef dispose d'une confiance ultime. Cette valeur
- n'est utilisée que pour les clefs où la clef secrète est
- également disponibles.
- 3. Champ: taille de la clef en bits.
- 4. Champ: Algorithme utilisé: 1 = RSA
- 16 = ElGamal (chiffrement uniquement)
- 17 = DSA (parfois appellé DH, signature seulement)
- 20 = ElGamal (signe et chiffre)
- (pour d'autres is, consultez include/cipher.h)
- 5. Champ: ID de clef (KeyID)
- 6. Champ: Date de création (en UTC)
- 7. Champ: Date d'expiration de la clef, vide si aucune.
- 8. Champ: ID local : numéro d'enregistrement du répertoire dans la
- trustdb. Cette valeur n'est valide que tant que la
- trustdb n'est pas effacée. Vous pouvez utiliser
- "#<local-id>" comme id d'utilisateur lorsque vous spécifiez
- la clef. Ceci est requis puisque les id de clef ne sont pas
- toujours uniques - un programme peut donc utiliser ce numéro
- pour accéder aux clefs ultérieurement.
- 9. Champ: Confiance propre (clef publiques primaires uniquement)
- C'est une simple lettre, mais une information supplémentaire pourrait
- se voir ajoutée dans les versions futures.
-10. Champ: ID utilisateur. La valeur est placée entre guillemets comme une
- chaîne en C, par exemple : "\x3a".
-11. Champ: Classe de signature. C'est un nombre hexadécimal à deux chiffres
- suivi par la lettre "x" si la signature peut être exportée ou la
- lettre "l" si la signature est uniquement locale.
-12. Champ: Capacités de la clef :
- e = chiffrement
- s = signature
- c = certification
- Une clef peut disposer de toute combinaison de ces caractéristiques.
- La clef primaire dispose, en plus de ces lettres, une version en
- majuscule des lettres pour marquer les capacités "d'utilisation"
- de la totalité de la clef.
-
-Toutes les dates sont affichées dans le format :
-
-yyyy-mm-dd
-
-Sauf si vous utilisez l'option --fixed-list-mode où dans ce cas précis les
-dates sont affichées en secondes depuis Epoch. Plus de champs feront l'objet
-d'additions dans les futures versions et les parsers doivent y être préparés.
-Lorsque le parser traitera ces données, il devra s'arrêter au premier
-caractère non-numérique afin que des informations supplémentaires soient
-ajoutées à l'avenir.
-
-Le champ 1 dispose d'un tag "pkd" dont le listing ressemble à ceci :
-
-pkd:0:1024:B665B1435F4C2 .... FF26ABB:
- ! ! !-- la valeur
- ! !------ indicateur du nombre de bits de la valeur
- !--------- index (eg. DSA va de 0 à 3 : p,q,g,y)
-
-
-
-Format de la sortie "--status-fd"
-=================================
-
-Chaque ligne dispose d'un préfixe :
-
-"[GNUPG:] "
-
-Suivie par un mot clef indiquant le type de la ligne de statut,
-et quelques arguments selon le type (probablement aucun) ; une application
-devrait toujours assumer que des arguments supplémentaires seront
-présents dans les versions futures.
-
- GOODSIG <long keyid> <username>
- La signature keyid est valide.
- Pour chaque signature seul l'un des trois codes GOODSIG, BADSIG ou
- ERRSIG seront produits et ils pourront être utilisés comme
- marqueurs pour les nouvelles signatures.
-
- BADSIG <long keyid> <username>
- La signature keyid n'a pas été vérifiée correctement.
-
- ERRSIG <long keyid> <pubkey_algo> <hash_algo> \
- <sig_class> <timestamp> <rc>
- Il n'a pas été possible de vérifier la signature. Ceci peut provenir
- d'une clef publique manquante, ou bien à cause d'un algorithme non-
- supporté. Un RC de 4 indique un algorithme inconnu, un 9 indique
- une clef publique manquante. Les autres champs donnent plus d'information
- sur la signature. sig_class est une valeur hexadécimale de 2 octets.
-
- VALIDSIG <fingerprint in hex> <sig_creation_date> <sig-timestamp>
- La signature keyid est valide. C'est ici la même chose que GOODSIG
- mais avec le fingerprint comme argument. Les lignes de statut seront
- émises pour une bonne signature.
- sig-timestamp est la date de création de la signature en secondes
- depuis Epoch.
-
- SIG_ID <radix64_string> <sig_creation_date> <sig-timestamp>
- N'est émis que pour les signatures de classe 0 ou 1 qui ont été
- vérifiées comme valides. Le chaîne est un identifiant d'utilisateur
- et peut être utilisée dans les applications pour détecter les
- attaques par rejeu de messages signés. Notez que seuls les
- algorithmes DLP offrent des identifiants uniques ; les autres peuvent
- produire des id dupliqués lorsqu'ils furent créés à la même seconde.
-
- ENC_TO <long keyid> <keytype> <keylength>
- Le message est chiffré avec ce keyid.
- keytype est une valeur numérique de l'algorithme à clef publique,
- keylength est la taille de la clef ou 0 si elle n'est pas connue
- (ce qui est toujours le cas).
-
- NODATA <what>
- Aucune donnée n'a été trouvée. Les codes suivants sont utilisés :
- 1 - Pas de données sous ARMOR.
- 2 - Un paquet attendu n'a pas été trouvé.
- 3 - Paquet invalide trouvé ; ceci peut indiquer un message
- non-OpenPGP. Vous devez vous attendre à une extension
- de ces lignes de statu à l'avenir.
-
- UNEXPECTED <what>
- Des données innatendues ont été rencontrées
- 0 - pas de détail supplémentaire
-
- TRUST_UNDEFINED
- TRUST_NEVER
- TRUST_MARGINAL
- TRUST_FULLY
- TRUST_ULTIMATE
- Pour les signatures valides, l'une de ces lignes de statut sera produite
- pour indiquer le niveau de confiance attribué à la clef. Pas d'arguments
- pour l'instant.
-
- SIGEXPIRED
- La clef de signature a expiré. Pas d'arguments pour l'instant.
-
- KEYREVOKED
- L'utilisateur a révoqué sa clef. Pas d'arguments pour l'instant.
-
- BADARMOR
- L'ARMOR ASCII est corrompu. Pas d'arguments pour l'instant.
-
- RSA_OR_IDEA
- Les algorithmes IDEA ont été utilisés sur les données. Un programme
- pourra basculer sur un autre programme de traitement si GnuPG échoue.
- Ce message de statut sera affiché pour le RSA aussi, mais ceci a été
- abandonné puisque le brevêt sur le RSA a expiré.
- Toutefois, nous ne pouvons modifier le nom du message.
-
- SHM_INFO
- SHM_GET
- SHM_GET_BOOL
- SHM_GET_HIDDEN
-
- GET_BOOL
- GET_LINE
- GET_HIDDEN
- GOT_IT
-
- NEED_PASSPHRASE <long main keyid> <long keyid> <keytype> <keylength>
- Sera affiché à chaque fois qu'une phrase passe sera requise.
- keytype est la valeur numérique de l'algorithme à clef publique
- ou bien 0 si cela n'est pas applicable. keylength est la taille de la
- clef ou 0 si la taille n'est pas connue (ceci est actuellement
- toujours le cas).
-
- NEED_PASSPHRASE_SYM <cipher_algo> <s2k_mode> <s2k_hash>
- Affiché à chaque fois qu'une phrase passe pour un chiffrement
- symétrique sera requise.
-
- MISSING_PASSPHRASE
- Aucune phrase passe n'a été fournie. Une application qui rencontre
- ce message devrait stopper immédiatement le parsing car le prochain
- message sera probablement BAD_PASSPHRASE. Toutefois, si l'application
- n'est qu'un wrapper autour de la fonctionnalité d'édition de clefs,
- ceci pourrait avoir un autre sens et stopper le parsing pourrait
- être incorrect, et il faudra ignorer le BAD_PASSPHRASE.
-
- BAD_PASSPHRASE <long keyid>
- La phrase passe fournie est soit invalide, soit n'a pas été fournie.
- Dans le seconde cas vous devriez voir un MISSING_PASSPHRASE.
-
- GOOD_PASSPHRASE
- La phrase passe fournie est valide et le matériel de clefs secrète
- est utilisable.
-
- DECRYPTION_FAILED
- La déchiffrement symétrique a échoué. Il s'agit généralement d'une
- mauvaise phrase passe ne correspondant pas au message chiffré.
-
- DECRYPTION_OKAY
- Succès du déchiffrement. Ceci signifie que soit la clef secrète
- adaptée a été utilisée avec succès, soit que la phrase passe
- valide pour un chiffrement symétrique aura conduit au déchiffrement.
- Le programme pourait toutefois renvoyer un message d'erreur s'il
- n'a pas été possible de vérifier la signature.
-
- NO_PUBKEY <long keyid>
- NO_SECKEY <long keyid>
- La clef n'est pas utilisable.
-
- IMPORTED <long keyid> <username>
- Le keyid et la signature ont été importés.
-
- IMPORTED_RES <count> <no_user_id> <imported> <imported_rsa> <unchanged>
- <n_uids> <n_subk> <n_sigs> <n_revoc> <sec_read> <sec_imported> <sec_dups>
- Statistiques finales sur le processus d'importation (cette ligne est longue!)
-
- FILE_START <what> <filename>
- Début de traitement du fichier <filename>. <what> indique l'opération
- réalisée :
- 1 - vérifier
-
- FILE_DONE
- Marque la fin de traitement d'un fichier, ayant débuté avec FILE_START.
-
- BEGIN_DECRYPTION
- END_DECRYPTION
- Marque le début et la fin du processus de déchiffrement. Ces messages
- seront également produits lors de l'utilisation du mode --list-only.
-
- BEGIN_ENCRYPTION
- END_ENCRYPTION
- Marque le début et la fin du processus de chiffrement.
-
- DELETE_PROBLEM reason_code
- L'effacement d'une clef a échoué. Un code indique la raison de l'erreur :
- 1 - La clef spécifiée n'existe pas
- 2 - La clef privée doit être détruite avant !
-
- PROGRESS what char cur total
- Utilisé par les fonctions primegen et de clef publique pour indiquer
- la progression de l'opération. "char" est le caractère affiché sans
- --status-fd avec les retours à la ligne marqués par "X". "cur" indique
- la quantitité de traitement terminée et "total" indique la valeur
- finale à atteindre. Un total de 0 indique que le total n'est pas
- connu. 100/100 peut être utilisé pour détecter la fin de l'opération.
-
- SIG_CREATED <type> <pubkey algo> <hash algo> <class> <timestamp> <key fpr>
- Une signature a été créée à l'aide de ces paramètres.
- type: 'D' = détachée
- 'C' = en texte clair
- 'S' = standard
- (seul le premier caractère doit être vérifié)
- class: 2 chiffres hexadécimaux avec la classe de signature
-
- KEY_CREATED <type>
- Une clef a été créée
- type: 'B' = primaire et sous-clef
- 'P' = primaire
- 'S' = sous-clef
-
- SESSION_KEY <algo>:<hexdigits>
- La clef de session utilisée pour déchiffrer le message. Ce message
- sera seulement affiché si l'option --show-session est utilisée.
- Le format est utilisable pour un passage direct à la fonction
- --override-session-key.
-
- NOTATION_NAME <name>
- NOTATION_DATA <string>
- Le nom et la chaîne sont "escaped" à l'aide de %XX et les données
- peuvent être découpées sur plusieurs lignes notation_data.
-
- USERID_HINT <long main keyid> <string>
- Donne un indice sur l'ID utilisateur pour un keyID donné.
-
- POLICY_URL <string>
- La chaîne est "escaped" en %XX
-
- BEGIN_STREAM
- END_STREAM
- Produit par pipemode.
-
-
-Génération de clef
-==================
-
-La génération de clef marque sa progression à l'aide de différents caractères, dont
-voici la signification :
-
-"." : les 10 derniers tests Miller-Rabin ont échoué.
-"+" : réussite du test Miller-Rabin.
-"!" : Rechargement du pool avec des nombres premiers frais.
-"^" : Vérification d'une nouvelle valeur pour le générateur.
-"<" : La taille d'un facteur a été réduite.
-">" : La taille d'un facteur a été augmentée.
-
-Le nombre premier pour l'ElGamal est généré de la manière suivante :
-
-1. On crée un nombre premier q de 160, 200 ou 240 bits (selon la taille
- de la clef).
-2. On sélectionne la taille de l'autre facteur premier, afin qu'elle soit
- au moins de la taille de q et on calcule le nombre de facteurs premiers
- requis.
-3. On crée un pool de nombres premiers, chacun dont la longueur fut déterminée
- à l'étape 2.
-4. On obtient une nouvelle permutation du pool et nous continuons avec
- l'étape 3 une fois toutes les permutations testées.
-5. Le premier cancidat est calculé par p = 2 * q * p[1] * ... * p[n] + 1
-6. On vérifie que ce premier dispose de la taille désirée (ceci peut changer
- q s'il ne semble pas possible de produire un premier de la taille voulue)
-7. On vérifie si ce nombre est premier à l'aide de divisions d'essai et par
- le test de Miller-Rabin.
-8. On continue à l'étape 4 si on n'a pas trouvé de premier à l'étape 7.
-9. On trouve un générateur pour ce premier.
-
-Cet algorithme se base sur la suggestion de Lim et Lee du Crypto' 97 (p. 260).
-
-Génération de clef innatendue
-=============================
-
-Cette fonction est actuellement expérimentale et permet la production de
-clefs innatendues avec un contrôle depuis un fichier de paramètres.
-Cette fonctionnalité n'a pas fait l'objet de tests poussés ! Veuillez ne
-PAS vous plaindre si nous décidons d'apporter des modifications importantes
-à cette commande.
-
-Pour utiliser cette fonctionnalité, vous devez utiliser --gen-key en
-combinaison avec --batch et fournir les paramètres soit depuis stdin,
-soit depuis un fichier dont le nom est fourni en ligne de commande.
-
-Ce fichier devra utiliser le format suivant :
-
- o En texte uniquement, chaque ligne étant limitée à environ 1000 caractères.
- o Vous devez utiliser un codage UTF-8 pour marquer les caractères non ASCII.
- o Les lignes vides seront ignorées.
- o Les espaces en début et fin de ligne seront ignorés.
- o Un signe "-" en tant que premier caractère "non white space" marque
- une ligne de commentaire.
- o Les commandes sont marquées par un signe "%" en début de ligne,
- suivi par la commande et ses arguments sont séparés par des espaces.
- o Les paramètres sont indiqués par un mot clef, suivi par un ":". Les
- arguments sont séparés par des espaces.
- o Le premier paramètre doit être "Key-Type" et ses contrôles peuvent
- être placés à votre discrétion.
- o La génération de clef aura lieu soit à la fin du fichier de paramètres,
- soit lorsque le premier "Key-Type" est rencontré au sein du fichier,
- dans un ensenble de contrôle "%commit".
- o Les ensembles de contrôle sont :
- %echo <texte>
- Affiche <texte>
-
- %dry-run
- Ne réalise pas la production de clef (pratique pour vérifier la
- syntaxe).
-
- %commit
- Réalise la production de clef. Un commit implicite est produit
- à chaque rencontre de "Key-Type".
-
- %pubring <filename>
- %secring <filename>
- Ne renvoie pas la clef vers le sortie par défaut ou dans le keyring
- indiqué en ligne de commande, mais vers le fichier <filename>. Ce
- contrôle doit être utilisé avant que le commit ne soit rencontré.
- Toute double mention sera ignorée et le dernier nom de fichier
- rencontré sera celui utilisé. Le fichier sera utilisé jusqu'à ce
- qu'un nouveau fichier soit spécifié (au points de commit) sinon
- toutes les clefs seront placées dans le même fichier. Si un nouveau
- nom de fichier est indiqué, le fichier sera créé (et tout ancien
- fichier sera alors écrasé). Les deux indications doivent être
- fournies au contrôle.
-
- o L'ordre des paramètres n'a pas d'importance, sauf pour "Key-Type" qui
- doit être le premier paramètre rencontré. Les paramètres ne sont
- destinés qu'au bloc keybloc généré et les paramètres des productions
- précédentes de clefs ne seront pas pris en compte. Certaines
- vérifications syntaxiques seront mises en place et peuvent être
- ou non actives. Les paramètres actuellement définis sont :
-
- Key-Type: <algo-number>|<algo-string>
- Débute un nouveau bloc de paramètres indiquant le type de la clef
- primaire à produire. L'algorithme doit être capable de produire
- des signatures. Ce paramètre est indispensable !
-
- Key-Length: <length-in-bits>
- Indique la taille de la clef, en bits. La valeur par défaut est
- 1024.
-
- Subkey-Type: <algo-number>|<algo-string>
- Permet de produire une clef secondaire. Actuellement, seule une
- sous-clef peut être gérée.
-
- Subkey-Length: <length-in-bits>
- Taille de la sous-clef en bits. La valeur par défaut est
- 1024.
-
- Passphrase: <string>
- Si vous souhaitez spécifier une phrase passe pour la clef
- secrète vous pouvez utiliser cette commande. Par défaut,
- aucune phrase passe ne sera associée aux clefs privées.
-
- Name-Real: <string>
- Name-Comment: <string>
- Name-Email: <string>
- Voici les trois composantes d'une clef. Vous devez ici
- n'utiliser que de l'UTF-8. Si vous ne fournissez aucune
- de ces indications, aucun ID d'utilisateur ne sera créé.
-
- Expire-Date: <iso-date>|(<number>[d|w|m|y])
- Spécifie la date d'expiration de la clef (et de sa sous-clef)
- La date doit être entrée sous la forme d'une date au format
- ISO (année-mois-jour) ou bien sous forme d'un nombre de
- jours, de semaines, de mois ou d'années. Si vous n'utilisez
- pas de lettre pour indiquer la durée, des "jours" sont
- assumés par défaut.
-
-Voici un exemple :
-$ cat >foo <<EOF
- %echo Génération d'une clef standard
- Key-Type: DSA
- Key-Length: 1024
- Subkey-Type: ELG-E
- Subkey-Length: 1024
- Name-Real: Joe le testeur
- Name-Comment: ma phrase passe est stupide
- Name-Email: [email protected]
- Expire-Date: 0
- Passphrase: abc
- %pubring foo.pub
- %secring foo.sec
- # Un commit est requis ici, pour pouvoir afficher un "done" :-)
- %commit
- %echo done
-EOF
-$ gpg --batch --gen-key -a foo
- [...]
-$ gpg --no-default-keyring --secret-keyring foo.sec \
- --keyring foo.pub --list-secret-keys
-/home/wk/work/gnupg-stable/scratch/foo.sec
-------------------------------------------
-sec 1024D/915A878D 2000-03-09 Joe le testeur (ma phrase passe est stupide) <[email protected]>
-ssb 1024g/8F70E2C0 2000-03-09
-
-
-
-Composition de la TrustDB
-=========================
-
-La TrustDB est construire à partir d'enregistrements à taille fixe, où le premier
-octet décrit le type d'enregistrement. Toutes les valeurs numériques sont
-conservées dans un réseau d'ordre d'octets. La longueur de chaque enregistrement
-est de 40 octets. Le premier enregistrement de la TrustDB est toujours de type 1
-et c'est le seul enregistrement de ce type.
-
- Record type 0:
- --------------
-
- Cet enregistrement n'est pas utilisé. Il peut être utilisé
- à votre discrétion.
-
- Record type 1:
- --------------
-
- Indique la version de la TrustDB. Cet enregistrement doit toujours être
- le premier enregistrement de la base de données et c'est le seul
- enregistrement de type 1.
-
- 1 octet valeur : 1
- 3 octets 'gpg' valeur "magic"
- 1 octet Version de la TrustDB (2)
- 1 octet marginales requises
- 1 octet complètes requises
- 1 octet max_cert_depth
-
- Ces trois éléments sont utilisés pour vérifier si la valeur de validité
- mise en cache dans l'enregistrement du répertoire peut être utilisée :
-
- 1 u32 locked flags
- 1 u32 datation de la création de la trustdb
- 1 u32 datation de la dernière modification
-
- Cette datation pourrait affecter la validité des clefs dans la base de
- données. Cette valeur sera comparée à celle de la datation de validité
- des enregistrements dir :
-
- 1 u32 datation de la dernière validation
-
- Cette valeur sera utilisée pour stocker le passage du temps, lorsque
- cette TrustDB sera comparée au trousseau de clefs publiques :
-
- 1 u32 numéro de l'enregistrement du keyhashtable
- 1 u32 premier enregistrement libre
- 1 u32 numéro de l'enregistrement répertoire shadow de la table de hachage
-
- Cette table ne devrait pas être combinée avec la table de clefs car le
- keyid n'est pas dans chaque cas un élément du fingerprint.
-
- 4 bytes réservés pour l'enregistrement d'extension de version
-
-
- Record type 2: (enregistrement répertoire)
- --------------
-
- Regroupe les informations sur un certificat de clef publique.
- Ces valeur sont statiques et ne sont jamais modifiées sans une
- interaction avec l'utilisateur :
-
- 1 octet valeur : 2
- 1 octet réservé
- 1 u32 LID . (numéro d'enregistrement de cet enregistrement)
- 1 u32 Liste de key-records (le premier est la clef primaire)
- 1 u32 Liste de uid-records
- 1 u32 cache record
- 1 octet ownertrust
- 1 octet dirflag
- 1 octet validité maximale de tous les id utilisateurs
- 1 u32 datation de la dernière vérification de validité
- 1 u32 Vérification requise lorsque cette datation sera atteinte
- (0 = pas de vérification requise)
-
-
- Record type 3: (enregistrement de clef)
- --------------
-
- Regroupe les informations sur une clef publique primaire.
- (ces informations sont principalement utilisées pour réaliser les lookup
- dans l'enregistrement trust)
-
- 1 octet valeur : 3
- 1 octet réservé
- 1 u32 LID
- 1 u32 next - prochain enregistrement
- 7 octets réservés
- 1 octet keyflags
- 1 octet algorithme de la clef publique
- 1 octet taille du fingerprint (en octets)
- 20 octets fingerprint de la clef publique
- (Cette valeur est utilisée pour identifier toute clef)
-
- Record type 4: (enregistrement uid)
- --------------
-
- Regroupe les informations sur un id utilisateur (un "uid").
- Nous ne stockons par l'uid mais un hachage de l'uid : cela semble suffire.
-
- 1 octet valeur : 4
- 1 octet réservé
- 1 u32 LID pointe vers l'enregistrement directory
- 1 u32 next le userid suivant
- 1 u32 pointeur vers l'enregistrement preference
- 1 u32 siglist liste de signatures valides
- 1 octet uidflags
- 1 octet validité de la clef calculée pour cet userid
- 20 bytes ripemd160 hachage du nom de l'utilisateur
-
-
- Record type 5: (enregistrement pref)
- --------------
-
- Regroupe les informations formant les préférences.
-
- 1 octet valeur : 5
- 1 octet réservé
- 1 u32 LID; pointe vers l'enregistrement directory (et PAS vers le uid !!!)
- (égal à 0 pour un enregistrement de préférences standard)
- 1 u32 suivant
- 30 byte données de préférences
-
- Record type 6 (sigrec)
- -------------
-
- Cet enregistrement est utilisé pour traquer les signatures de clefs. Les
- auto-signatures ne sont pas conservées. Si une clef publique ne se trouve
- pas dans la TrustDB, la signature pointe vers un enregistrement dir fantôme,
- lequel contient une liste des enregistrements qui seraient intéressés
- par cette clef (et l'enregistrement signature en fait partie).
-
- 1 octet valeur : 6
- 1 octet réservé
- 1 u32 LID pointe en retour vers l'enregistrment dir
- 1 u32 next prochain sigrec de cet uid ou bien 0 pour indiquer que ce
- sigrec est le dernier.
- 6 times
- 1 u32 Local_id des dir signatures ou de l'enregistrement dir fantôme
- 1 octet Flag: Bit 0 = vérifié: Bit 1 est valide (nous avons un
- véritable enregistrement directory)
- 1 = valide est vrai (mais pourrait être révoqué)
-
-
-
- Record type 8: (enregistrement répertoire (dir) fantôme)
- --------------
-
- Cet enregistrement est utilisé pour réserver un LID pour une clef publique.
- Nous avons besoin de cet enregistrement pour créer les enregistrements sigs
- des autres clefs, même si nous ne disposons pas d'une signature de la clef
- publique.
- Cet enregistrement (le numéro d'enregistrement pour être plus précis)
- sera réutilisé dans l'enregistrement dir lorsque nous importerons la
- véritable clef publique.
-
- 1 octet valeur : 8
- 1 octet réservé
- 1 u32 LID (Ceci est simplement le numéro d'enregistrement de ce record.)
- 2 u32 keyid
- 1 octet algorithme de la clef publique
- 3 octets réservé
- 1 u32 hintlist
-
- hintlist contient la liste des enregistrements qui ont des références qui pointent
- vers cette clef. Nous utilisons cet élément pour augmenter la vitesse d'accès
- des enregistrements de signature qui ne sont pas encore vérifiés. Notez que ces
- données ne sont qu'un indice, une indication ("hint") mais les enregistrements actuels
- pourraient ne pas détenir d'enregistrement de signature pour la clef, mais le
- code du programme saura prendre soin de tout cela.
-
- 18 octets réservés
-
-
-
- Record Type 10 (table de hachage)
- --------------
-
- Comme nous utilisons les fingerprint pour accéder aux clefs, nous devons
- implémenter un accès rapide en utilisant des méthodes de hachages simples,
- afin d'éviter une surcharge de gdbm. La propriété des fingerprint
- est qu'ils permettent un usage direct en tant que valeurs hachées (ils
- peuvent être considérés comme des nombres aléatoires cryptographiquement
- forts).
- Nous utilisons une architecture à multiples niveaux dynamique, qui combine
- les tables de hachage, les listes d'enregistrements et les listes
- chaînées.
-
- Cet enregistrement est une table de hachages de 256 entrées ; une propriété
- spéciale est que tous les enregistrements sont stockés consécutivement
- pour produire une grande table. La valeur hachée est simplement le 1er,
- 2nd.. octet du fingerprint (selon le niveau d'indirection).
-
- Lorsque nous les utilisons pour hacher les enregistrements de répertoires
- shadow, une différente table est utilisée, et elle se trouve indexée
- par le keyid.
-
- 1 octet valeur : 10
- 1 octet réservé
- n u32 recnum; n dépend de la taille de l'enregistrement :
- n = (reclen-2)/4 ce qui donne 9 pour la taille actuelle
- d'enregistrement de 40 octets.
-
- Le nombre total de ces enregistrements constituant la table est :
-
- m = (256+n-1) / n
-
- ce qui donne 29 pour une taille d'enregistrement de 40.
-
- Pour rechercher une clef, nous utilisons le premier octet du fingerprint
- pour obtenir le recnum de la table de hachage et nous étudions l'enregistrement
- adressé :
-
- o Si cet enregistrement est une autre table de hachage, nous pouvons
- utiliser le second octet pour indexer cette table de hachage et continuer.
-
- o Si cet enregistrement est une liste de hachages, nous pouvons parcourir
- toutes les entrées jusqu'à trouver la bonne.
-
- o Si cet enregistrement est un enregistrement de clef, nous comparons
- le fingerprint avec celui recherché et nous déterminons s'il s'agit
- de la clef recherchée.
-
-
-
- Record type 11 (liste hachée)
- --------------
-
- Consultez la table hachée pour une explication.
- Ceci sera également utilisé à d'autres fins.
-
- 1 octet valeur : 11
- 1 octet réservé
- 1 u32 next enregistrement de liste hachée suivant
- n times n = (reclen-5)/5
- 1 u32 recnum
-
- Pour la taille actuelle utilisée par les enregistrements (taille 40) nous avons n = 7.
-
-
-
-
- Record type 254 (enregistrement libre)
- ---------------
-
-Tous ces enregistrements forment une liste chaînée d'enregistrements non-utilisés.
-
- 1 octet valeur 254
- 1 octet réservé (0)
- 1 u32 next_free
-
-
-
-En-têtes de paquets
-===================
-
-GnuPG utilise des en-têtes PGP 2 et il est aussi capable de comprendre
-les en-têtes de type OpenPGP. C'est une amélioration utilisée sur les anciens
-en-têtes de paquets :
-
-Les CTB bits 10, les "packet-length length bits" ont leurs valeurs listées
-dans la table suivante :
-
- 00 - 1-octet champ packet-length
- 01 - 2-octets champ packet-length
- 10 - 4-octets champ packet-length
- 11 - pas de taille de paquet fournie, taille inconnue
-
-Comme indiqué dans cette table, selon la taille du packet-length les
-octets restants (1, 2, 4 ou 0) du champ de structure de paquets sont
-un "champ packet-length". Ce champ est une valeur numérique à part entière.
-La valeur du champ packet-length est définie par la valeur de la
-totalité du champ numérique.
-
-La valeur 11 est actuellement utilisée dans un cas : les données
-compressées. C''est à dire qu'un bloc de données compressées
-ressemble à : <A3 01 .. .. > où A3 est le binaire "10 1000 11" et
-produit ici un paquet de taille non-définie. L'interprétation
-correcte en est : "jusqu'à la fin de la structure englobante"
-bien qu'en fait la structure englobante soit généralement
-le fichier.
-
-+ Ceci sera modifié dans une future version, où la signification de la
-+ valeur 11 (voir ci-dessous) aura aussi sa place.
-+
-+ Une valeur de 11 pour d'autres paquets active un codage spécial
-+ de la taille, où la taille du paquet suivant ne pourra pas être
-+ déterminée avant l'écriture du paquet, en particulier ceci sera
-+ utilisé si de grande quantités de données sont à traiter dans
-+ un mode filtre.
-+
-+ Ceci fonctionne de la manière suivante : après le CTB (qui est un
-+ champ de longueur de 11) un champ marqueur sera utilisé, il indiquera
-+ alors la taille du bloc de données suivant. C'est un simple champ
-+ de deux octets (MSB en premier) contenant la quantité de données qui
-+ suivent le champ, sans inclure le champ de taille toutefois. Après
-+ ce bloc de données un autre champ de taille suivra, qui donnera la taille
-+ du bloc de données suivant. Une valeur de 0 indique une fin de paquet.
-+ La taille maximale d'un bloc de données est limitée à 65534, ce qui
-+ réserve la valeur 0xffff pour des extensions futures. Ces marqueurs de
-+ taille devront être insérés dans le flux de données avant que les
-+ données ne soient envoyées en sortie.
-+
-+ Ce champ de deux octets est largement suffisant, car l'application
-+ doit placer en tampon cette quantité de données pour précéder le
-+ marqueur de taille avant de produire une sortie. Les blocs de données
-+ d'une taille supérieure à 32 Ko n'ont aucun sens. Notez que ceci pourra
-+ également être utilisé pour les flux de données compressées, mais
-+ nous devrons alors utiliser une autre version de paquet afin de dire à
-+ l'application qu'elle ne peut assumer qu'il s'agit du dernier paquet.
-
-
-Extensions GNU à l'algorithme S2K
-=================================
-
-Le S2K mode 101 est utilisé pour identifier ces extensions.
-Après l'algorithme de hachage les trois octets "GNU" sont utilisés
-pour indiquer clairement qu'il s'agit d'extensions GNU et les octets
-qui suivent donnent le mode de protection GNU utilisé : 1000. Les
-modes définis sont :
-
- 1001 - ne pas conserver du tout de partie secrète
-
-
-
-Usage des fichiers gdbm pour les trousseaux de clefs
-====================================================
-
-La clef utilisé pour stocker le keyblock est son propre fingerprint,
-les autres enregistrements sont utilisés pour les clefs secondaires.
-Les fingerprint font toujours 20 octets où 16 bits de fingerprint
-sont suivis par 0. Le premier octet de chaque clef indique une
-information sur le type de clef :
-
- 1 = la clef est un fingerprint de 20 octets (16 octets fpr "paddés" de 0)
- les données sont le keyblock
- 2 = la clef est un keyid complet de 8 octets
- les données sont une liste de 20 octets fingerprints
- 3 = la clef est un keyid court de 4 octets
- les données sont une liste de 20 octets fingerprints
- 4 = la clef est une adresse email
- les données sont une liste de 20 octets fingerprints
-
- Les données sont pre-appended (précédées) par un octet de type :
-
- 1 = keyblock
- 2 = liste de 20 octets fingerprints "paddés"
- 3 = liste de liste de fingerprints ("but how to we key them?")
-
-
-
-Pipemode
-========
-
-Ce mode est utilisé pour réaliser des opérations multiples avec un
-unique appel à gpg. C'est assez pratique lorsqu'il faut pouvoir vérifier
-un grand nombre de signatures. Actuellement nous n'avons qu'un support
-des signatures détachées. Ce mode est une astuce qui permet d'éviter
-de faire fonctionner gpg n en daemon mode et d'utiliser les Unix Domain
-Sockets pour lui faire passer les données. Il n'existe aucun moyen
-pratique de portabilité de ce concept sous Windows, alors nous utilisons
-des pipes simples pour faire fonctionner ce mode sous Windows. Comme nous
-n'avons aucun moyen de signaler des EOF multiples dans un pipe nous
-devons laisser le contrôle s'insérer dans le flux de données lui-même.
-Nous réalisons alors une distinction entre les données du flux et un
-état de contrôle. A son lancement, le système se trouve dans un état
-de données mais n'acceptera aucune donnée. Il attend en fait une
-transition vers un mode de contrôle qui s'obtient en envoyant un simple
-caractère '@'. Une fois dans le mode de contrôle, des commandes sont
-attendues et ces commandes sont à un octet après lequel le système
-revient au mode de données (mais cela n'implique pas qu'il acceptera
-des données immédiatement). La commande de contrôle la plus simple
-est '@' qui permet d'insérer ce caractère dans le flux de données.
-
-Voici le format que nous utilisons pour les signatures détachées :
-
-"@<" - Début d'un nouveau flux
-"@B" - La signature détachée suit.
- Ceci émet le paquet de contrôle (1,'B')
-<detached_signature>
-"@t" - Le texte signé suit.
- Ceci émet le paquet de contrôle (2, 'B')
-<signed_text>
-"@." - Fin de l'opération. Le paquet de contrôle final force la
- vérification de la signature.
-"@>" - Fin du flux.
-
-
-
-Autres notes
-============
-
-Dans la version* 3 de version de paquet nous calculons les keyid de cette manière :
-
-RSA : les 64 bits de poids faible de n
-ELGAMAL : nous construisons un paquet de clef publique v3 (avec CTB 0x99)
- et nous calculons une valeur hachée rmd160 à partir de ce paquet.
- Il est utilisé comme fingerprint avec les 64 bits de poids faible
- qui produisent le keyid.
-
-* Les certificats de révocation ne comportent qu'un paquet de signature ;
-"import" sait comment traiter ces paquets. L'idée derrière ce principe
-est de conserver une petite taille de paquet.
-
-
-
-Format des messages Keyserver
-=============================
-
-Le serveur de clef peut être contacté par un Unix Domain Socket ou via TCP.
-
-Le format des requêtes est :
-
-====
-command-tag
-"Content-length:" digits
-CRLF
-=======
-
-Où le command-tag est :
-
-NOOP
-GET <user-name>
-PUT
-DELETE <user-name>
-
-
-Le format de réponse utilisé est :
-
-======
-"GNUPG/1.0" status-code status-text
-"Content-length:" digits
-CRLF
-============
-
-suivi par <digits> octets de données.
-
-
-Les codes de statut utilisés sont :
-
- o 1xx: Information: requête reçue, traitement en cours.
-
- o 2xx: Succès - L'action a été reçue, comprise et acceptée.
-
- o 4xx: Erreur client : la requête contient une erreur, mauvaise syntaxe
- ou demande irréalisable.
-
- o 5xx: Erreur serveur - Le serveur n'a pu traiter une demande
- qui semble valide.
-
-
-Documentation sur HKP (le protocol de serveurs de clefs http)
-=============================================================
-
-Un serveur HTTP minimal sur port 11371 reconnaît les requêtes GET
-pour /pks/lookup. Les paramètres standard encodés URL de la requête
-sont toujours ceux-ci : (toujours key=valeur)
-
-- op=index (comme pgp -kv), op=vindex (comme pgp -kvv) and op=get (comme
- pgp -kxa)
-
-- search=<stringlist>. Nous avons ici une liste de mots qui doivent
- apparaître dans la clef. Ces mots sont séparés par des espaces,
- points, @, etc. Les délimiteurs ne feront pas partie de la
- recherche et l'ordre des mots n'a aucune importance (mais consultez
- l'option suivante).
-
-- exact=on. Ce switch permet d'indiquer au serveur hkp qu'il ne doit
- rechercher que les correspondances exactes. Dans ce cas, les
- délimiteurs et l'ordre des mots sera considéré.
-
-- fingerprint=on. Renvoie également les fingerprint, lorsque utilisé
- avec 'index' ou 'vindex'
-
-Les serveurs de clefs savent aussi reconnaître le format http-POST vers /pks/add.
-Vous utilisez ceci pour envoyer des clefs au serveur.
-
-Le mieux pour produire une requête reste :
-
- /pks/lookup/<gnupg_formatierte_user_id>?op=<operation>
-
-Ceci peut être implémenté en utilisant le mécanisme de traduction Hurd.
-Toutefois, nous pensons que les traitements du serveur de clef doivent
-faire l'objet d'une refonte.